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jeudi, ven et sam à 19h dim à 15h
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Mise en scène Ned Grugic et Rafael Bianciottto Avec Charlotte Andrès, Rafael Bianciotto, Anne-Dominique Défontaines, Christophe Hardy, Francis Ressort et Jean-Luc Priano « Nous sommes tous faits de l’étoffe de nos rêves » Dernière pièce de Shakespeare, La Tempête nous invite à un voyage initiatique où vengeance, trahison, fascination du pouvoir s’opposent au pardon, à la compassion, à la fraternité… Cette œuvre allégorique est un miroir qui nous renvoie notre part d’ombre et de lumière. Dans notre Tempête, nous allons voyager dans la tête de Prospero, cet homme puissant qui a tout perdu et se retrouve seul face à lui-même, malgré la présence de sa fille Miranda. Il va créer ses chimères et nous emmener dans son rêve. Ses anges et démons intérieurs s’incarneront dans des personnages que son imaginaire va recréer pour pouvoir se libérer de l’esprit de vengeance qui l’anime. Prospero est le metteur en scène de ses propres fantasmes. Cette île qui l’abrite sera la représentation de son espace mental. Nous découvrirons ainsi qu’Ariel et Caliban sont deux aspects de lui-même qui s’affrontent ; les naufragés, la matérialisation des objets de sa vengeance ; Ferdinand et sa fille Miranda la projection d’un bonheur à venir. Comme dans les rêves, tout est possible. La magie, l’étrange, la fantaisie, le rire et l’émotion s’entrecroiseront dans un spectacle que nous voulons à la fois inventif, léger et poignant. Douze années de rancune s’évaporeront le temps d’un rêve où Prospero retrouvera son humanité… Ned Grujic et Rafael Bianciotto |

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Mise en scène Ned Grugic et Rafael Bianciottto Avec Charlotte Andrès, Rafael Bianciotto, Anne-Dominique Défontaines, Christophe Hardy, Francis Ressort et Jean-Luc Priano « Nous sommes tous faits de l’étoffe de nos rêves » Dernière pièce de Shakespeare, La Tempête nous invite à un voyage initiatique où vengeance, trahison, fascination du pouvoir s’opposent au pardon, à la compassion, à la fraternité… Cette œuvre allégorique est un miroir qui nous renvoie notre part d’ombre et de lumière. Dans notre Tempête, nous allons voyager dans la tête de Prospero, cet homme puissant qui a tout perdu et se retrouve seul face à lui-même, malgré la présence de sa fille Miranda. Il va créer ses chimères et nous emmener dans son rêve. Ses anges et démons intérieurs s’incarneront dans des personnages que son imaginaire va recréer pour pouvoir se libérer de l’esprit de vengeance qui l’anime. Prospero est le metteur en scène de ses propres fantasmes. Cette île qui l’abrite sera la représentation de son espace mental. Nous découvrirons ainsi qu’Ariel et Caliban sont deux aspects de lui-même qui s’affrontent ; les naufragés, la matérialisation des objets de sa vengeance ; Ferdinand et sa fille Miranda la projection d’un bonheur à venir. Comme dans les rêves, tout est possible. La magie, l’étrange, la fantaisie, le rire et l’émotion s’entrecroiseront dans un spectacle que nous voulons à la fois inventif, léger et poignant. Douze années de rancune s’évaporeront le temps d’un rêve où Prospero retrouvera son humanité… Ned Grujic et Rafael Bianciotto |

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au Vingtième Théâtre à Paris du 30 août au 26 octobre 2014
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Mise en scène Ned Grugic et Rafael Bianciottto Avec Charlotte Andrès, Rafael Bianciotto, Anne-Dominique Défontaines, Christophe Hardy, Francis Ressort et Jean-Luc Priano Musique Jean-Luc Priano « Nous sommes tous faits de l’étoffe de nos rêves » Dernière pièce de Shakespeare, La Tempête nous invite à un voyage initiatique où vengeance, trahison, fascination du pouvoir s’opposent au pardon, à la compassion, à la fraternité… Cette œuvre allégorique est un miroir qui nous renvoie notre part d’ombre et de lumière. Dans notre Tempête, nous allons voyager dans la tête de Prospero, cet homme puissant qui a tout perdu et se retrouve seul face à lui-même, malgré la présence de sa fille Miranda. Il va créer ses chimères et nous emmener dans son rêve. Ses anges et démons intérieurs s’incarneront dans des personnages que son imaginaire va recréer pour pouvoir se libérer de l’esprit de vengeance qui l’anime. Prospero est le metteur en scène de ses propres fantasmes. Cette île qui l’abrite sera la représentation de son espace mental. Nous découvrirons ainsi qu’Ariel et Caliban sont deux aspects de lui-même qui s’affrontent ; les naufragés, la matérialisation des objets de sa vengeance ; Ferdinand et sa fille Miranda la projection d’un bonheur à venir. Comme dans les rêves, tout est possible. La magie, l’étrange, la fantaisie, le rire et l’émotion s’entrecroiseront dans un spectacle que nous voulons à la fois inventif, léger et poignant. Douze années de rancune s’évaporeront le temps d’un rêve où Prospero retrouvera son humanité… Ned Grujic et Rafael Bianciotto |

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au Vingtième Théâtre à Paris du 30 août au 26 octobre 2014
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Mise en scène Ned Grugic et Rafael Bianciottto Avec Charlotte Andrès, Rafael Bianciotto, Anne-Dominique Défontaines, Christophe Hardy, Francis Ressort et Jean-Luc Priano Musique Jean-Luc Priano « Nous sommes tous faits de l’étoffe de nos rêves » Dernière pièce de Shakespeare, La Tempête nous invite à un voyage initiatique où vengeance, trahison, fascination du pouvoir s’opposent au pardon, à la compassion, à la fraternité… Cette œuvre allégorique est un miroir qui nous renvoie notre part d’ombre et de lumière. Dans notre Tempête, nous allons voyager dans la tête de Prospero, cet homme puissant qui a tout perdu et se retrouve seul face à lui-même, malgré la présence de sa fille Miranda. Il va créer ses chimères et nous emmener dans son rêve. Ses anges et démons intérieurs s’incarneront dans des personnages que son imaginaire va recréer pour pouvoir se libérer de l’esprit de vengeance qui l’anime. Prospero est le metteur en scène de ses propres fantasmes. Cette île qui l’abrite sera la représentation de son espace mental. Nous découvrirons ainsi qu’Ariel et Caliban sont deux aspects de lui-même qui s’affrontent ; les naufragés, la matérialisation des objets de sa vengeance ; Ferdinand et sa fille Miranda la projection d’un bonheur à venir. Comme dans les rêves, tout est possible. La magie, l’étrange, la fantaisie, le rire et l’émotion s’entrecroiseront dans un spectacle que nous voulons à la fois inventif, léger et poignant. Douze années de rancune s’évaporeront le temps d’un rêve où Prospero retrouvera son humanité… Ned Grujic et Rafael Bianciotto |

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Mise en scène Ned Grugic et Rafael Bianciottto Avec Charlotte Andrès, Rafael Bianciotto, Anne-Dominique Défontaines, Christophe Hardy, Francis Ressort et Jean-Luc Priano « Nous sommes tous faits de l’étoffe de nos rêves » Dernière pièce de Shakespeare, La Tempête nous invite à un voyage initiatique où vengeance, trahison, fascination du pouvoir s’opposent au pardon, à la compassion, à la fraternité… Cette œuvre allégorique est un miroir qui nous renvoie notre part d’ombre et de lumière. Dans notre Tempête, nous allons voyager dans la tête de Prospero, cet homme puissant qui a tout perdu et se retrouve seul face à lui-même, malgré la présence de sa fille Miranda. Il va créer ses chimères et nous emmener dans son rêve. Ses anges et démons intérieurs s’incarneront dans des personnages que son imaginaire va recréer pour pouvoir se libérer de l’esprit de vengeance qui l’anime. Prospero est le metteur en scène de ses propres fantasmes. Cette île qui l’abrite sera la représentation de son espace mental. Nous découvrirons ainsi qu’Ariel et Caliban sont deux aspects de lui-même qui s’affrontent ; les naufragés, la matérialisation des objets de sa vengeance ; Ferdinand et sa fille Miranda la projection d’un bonheur à venir. Comme dans les rêves, tout est possible. La magie, l’étrange, la fantaisie, le rire et l’émotion s’entrecroiseront dans un spectacle que nous voulons à la fois inventif, léger et poignant. Douze années de rancune s’évaporeront le temps d’un rêve où Prospero retrouvera son humanité… Ned Grujic et Rafael Bianciotto |

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L’association des Créateurs de Masques présentera ses 3èmes rencontres publiques
les 29 et 30 Novembre 2014
qui auront lieu à La Maison de l’Arbre, 9 rue Francis-Debergue, 93100 MONTREUIL
sur le thème:
LE MASQUE AUJOURD’HUI : UNE QUESTION DE TRADITION(S) ? LA TRADITION ?
L’idée même de « tradition » peut être perçue comme associée à celle de hiérarchie, de religion, de culture populaire : tout le contraire de notre « modernité », tout le contraire de notre notion de création artistique ! Mais toute création ne s’inscrit-elle pas dans un acte de filiation : que l’on tente de les suivre ou de s’en éloigner, il existe toujours un rapport, un lien avec ceux qui nous précèdent… Nous souhaitons interroger ce lien au cours de ces Rencontres 2014.
QUELLES TRADITIONS ?…
Le Nô, le Topeng, la commedia dell’arte…, toutes ces formes traditionnelles sont des références incontournables de l’art du masque, elles pétrissent nos consciences et alimentent nos inconscients. Quelles autres traditions nous inspirent ? …
POUR QUELS SPECTACLES ?
Quelles influences ont-elles sur les scènes contemporaines? Et que continuent-elles de nous enseigner au XXIème siècle ? Peut-on sculpter, jouer, mettre en scène des masques de nos jours en ignorant ces « modèles » ? Doit-on en respecter les formes ou en inventer d’autres ? Et comment les tenants des traditions perçoivent-ils cet intérêt et l’utilisation de leur art en dehors de leur culture ?
NOTRE TRADITION ?
On dit qu’il faut trois générations pour établir une tradition, que c’est un processus d’accumulation collectif, une transmission de savoirs et de savoir-faire, de pratiques culturelles, de codes communs… Autrement dit des formes de masques, des couleurs, des personnages, des histoires…, mais aussi des manières de jouer, des types de dramaturgies… En s’inspirant des traditions passées et lointaines, le théâtre au XXè siècle n’aurait-il pas créé une tradition du théâtre masqué européen pour le XXIè siècle ? Après le « Masque neutre » et les « Dramaturgies du masque » en 2012 et 2013, l’association des Créateurs de Masques souhaite interroger, avec des praticiens ou des analystes du théâtre contemporain, cette relation aux traditions, ce qui s’y joue, ce qu’elles continuent de nous apprendre et en quoi elles ne sont peut-être pas si étrangères à notre monde…
Le programme est en cours d’élaboration, nous vous tiendrons informé dès que nous en aurons le détail


Un événement international ayant pour objectif d’inscrire la Commedia Dell’arte au Patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO et de mettre en valeur les différentes approches qu’en ont les compagnies de masque d’aujourd’hui.
Programme :
A 16h00 à 18h00 : échanges autour du thème « masques et commedia dell’arte aujourd’hui… » avec Giulia Filacanapa (Université Paris VIII) et Camilla Cerdena (Université Lille III).
19h à 20h : spectacle de l’AIDAS
20h30 à 21h20 : spectacle « Vinguerka » – création 2015 du Di Mini Teatro
21h30 à 22h30 : spectacle « Arlek1, les 2 Koqs, la Kokette. » – création 2014 du Di Mini Teatro
22h30 à 23h30 : concert
Pass 3 spectacles = 12 € / 8 €
Tarif par spectacle = 5.5 € / 3.5 €
Tout public
La commedia dell’arte est un théâtre populaire qui, sur les places et les marchés, n’hésitait pas à critiquer les puissants. Un art nécessaire, une soupape pour le peuple. Face à la virulence de certains discours, la noblesse choisit de pratiquer une censure de plus en plus sévère, jusqu’à obliger les comédiens à jouer dans des salles fermées et à lire des textes écrits sous contrôle. La commedia laissa alors la place au théâtre actuel.
La commedia dell’arte s’est développée dans un contexte particulier : au XVI ème siècle, chaque province d’Italie parlait son propre dialecte. Ainsi, tous les personnages présents sur scène ne parlaient pas la même langue. Le jeu s’est alors développé pour que le langage ne soit pas une barrière. C’est ainsi que la commedia devint un art très gestuel et très codé.
Du samedi 21 février au dimanche 8 mars, la compagnie Di mini Teatro propose au public de découvrir Maskarade, une exposition de masques, outils incontournables de cet art vivant. Et à travers eux, de comprendre le lien entre la fabrication et la mise en pratique de ces derniers.
Quelques noms de facteurs de masques présents dans cette exposition : Stefano Perocco di Meduna, Remi Cassan, Yohan Chemoul, Marine Donadoni, Noèlie Morisot, Carolina Munoz. Les costumières Agathe Elbo,Marie Lamontre présenteront leurs travaux.
Ouverture du mercredi au dimanche, de 14h à 18h
Gratuit
Tout public

© Satoshi Saikusa
Masato Matsuura
qui a participé aux rencontres de novembre
Masques/traditions, regard croisés
en tant qu’acteur de Nô
vous propose une conférence-démonstration
Nô et Sabre – La philosophie du Wa dans les Kata
le samedi 28 mars à La Maison du Japon à 15H
dans la Grande Salle (niveau -3)
Entrée libre sans réservation
Vous êtes les bienvenus !
L’histoire des travailleurs chinois présents en France durant la Première Guerre mondiale est un épisode méconnu de notre histoire moderne et coloniale.
Recrutés par les armées britanniques et françaises, engagés comme main d’oeuvre à l’arrière des champs de bataille, ils seront pourtant plus de 130 000 à traverser les mers et les continents pour se retrouver sous le sifflement des bombes et face à l’hostilité de leurs employeurs, qui ne les considèrent que pour leur force de travail.
Regroupés en camps de travail, isolés, sous-payés et victimes du regard d’un monde qui les fantasme et les méprise pendant qu’il envoie ses propres citoyens à la boucherie, ils s’organiseront pourtant an de survivre et créer des liens.
Parcourant les traces laissées par ces hommes, notamment dans le nord de la France, le Théâtre de l’Ordinaire et l’Asian People’s Theatre Festival Society veulent revenir sur les conditions de leur exil, sur les lieux de travail et dans les camps, ainsi que sur leurs rapports avec l’armée et les populations locales.
Des artistes chinois et français travailleront ensemble autour de cette mémoire et de ses répercussions pour créer une forme théâtrale originale intégrant les manières de faire et de voir le monde propre à chacun.
Des résidences de créations sont prévues dès avril 2015 pour un spectacle qui sera joué en France puis en Chine. Les compagnies ont également été invitées à présenter leur travail en 2016 dans le cadre de festivals internationaux en Corée et en Turquie.
Les premières dates prévues (France) : le 8 mai 2015 à Oye-Plage, le 9 mai à Vieille Eglise, dans la Communauté de Communes de la Région d’Audruicq + le 11 mai, séance scolaire / les 12, 13 et 14 mai 2015 au Théâtre de Ménilmontant à Paris /le 16 mai à Chatellerault dans le cadre de la nuit des musées / le 25 mai à Ayette / les 29 et 30 mai 2015 au Théâtre de l’Aventure à Hem + le 28 mai, séance scolaire / le 9 juin 2015 à Angers + séance scolaire // Le 20 mai 2015, représentation spéciale avec des amateurs devant le cimetière chinois de Ruminghem.
En Chine, le spectacle est programmé en Juin 2015 dans le cadre du French May et du 25 juin au 1er août 2015 dans le cadre du festival Croisements.
L’histoire des travailleurs chinois présents en France durant la Première Guerre mondiale est un épisode méconnu de notre histoire moderne et coloniale.
Recrutés par les armées britanniques et françaises, engagés comme main d’oeuvre à l’arrière des champs de bataille, ils seront pourtant plus de 130 000 à traverser les mers et les continents pour se retrouver sous le sifflement des bombes et face à l’hostilité de leurs employeurs, qui ne les considèrent que pour leur force de travail.
Regroupés en camps de travail, isolés, sous-payés et victimes du regard d’un monde qui les fantasme et les méprise pendant qu’il envoie ses propres citoyens à la boucherie, ils s’organiseront pourtant an de survivre et créer des liens.
Parcourant les traces laissées par ces hommes, notamment dans le nord de la France, le Théâtre de l’Ordinaire et l’Asian People’s Theatre Festival Society veulent revenir sur les conditions de leur exil, sur les lieux de travail et dans les camps, ainsi que sur leurs rapports avec l’armée et les populations locales.
Des artistes chinois et français travailleront ensemble autour de cette mémoire et de ses répercussions pour créer une forme théâtrale originale intégrant les manières de faire et de voir le monde propre à chacun.
Des résidences de créations sont prévues dès avril 2015 pour un spectacle qui sera joué en France puis en Chine. Les compagnies ont également été invitées à présenter leur travail en 2016 dans le cadre de festivals internationaux en Corée et en Turquie.
Les premières dates prévues (France) : le 8 mai 2015 à Oye-Plage, le 9 mai à Vieille Eglise, dans la Communauté de Communes de la Région d’Audruicq + le 11 mai, séance scolaire / les 12, 13 et 14 mai 2015 au Théâtre de Ménilmontant à Paris /le 16 mai à Chatellerault dans le cadre de la nuit des musées / le 25 mai à Ayette / les 29 et 30 mai 2015 au Théâtre de l’Aventure à Hem + le 28 mai, séance scolaire / le 9 juin 2015 à Angers + séance scolaire // Le 20 mai 2015, représentation spéciale avec des amateurs devant le cimetière chinois de Ruminghem.
En Chine, le spectacle est programmé en Juin 2015 dans le cadre du French May et du 25 juin au 1er août 2015 dans le cadre du festival Croisements.
L’histoire des travailleurs chinois présents en France durant la Première Guerre mondiale est un épisode méconnu de notre histoire moderne et coloniale.
Recrutés par les armées britanniques et françaises, engagés comme main d’oeuvre à l’arrière des champs de bataille, ils seront pourtant plus de 130 000 à traverser les mers et les continents pour se retrouver sous le sifflement des bombes et face à l’hostilité de leurs employeurs, qui ne les considèrent que pour leur force de travail.
Regroupés en camps de travail, isolés, sous-payés et victimes du regard d’un monde qui les fantasme et les méprise pendant qu’il envoie ses propres citoyens à la boucherie, ils s’organiseront pourtant an de survivre et créer des liens.
Parcourant les traces laissées par ces hommes, notamment dans le nord de la France, le Théâtre de l’Ordinaire et l’Asian People’s Theatre Festival Society veulent revenir sur les conditions de leur exil, sur les lieux de travail et dans les camps, ainsi que sur leurs rapports avec l’armée et les populations locales.
Des artistes chinois et français travailleront ensemble autour de cette mémoire et de ses répercussions pour créer une forme théâtrale originale intégrant les manières de faire et de voir le monde propre à chacun.
Des résidences de créations sont prévues dès avril 2015 pour un spectacle qui sera joué en France puis en Chine. Les compagnies ont également été invitées à présenter leur travail en 2016 dans le cadre de festivals internationaux en Corée et en Turquie.
Les premières dates prévues (France) : le 8 mai 2015 à Oye-Plage, le 9 mai à Vieille Eglise, dans la Communauté de Communes de la Région d’Audruicq + le 11 mai, séance scolaire / les 12, 13 et 14 mai 2015 au Théâtre de Ménilmontant à Paris /le 16 mai à Chatellerault dans le cadre de la nuit des musées / le 25 mai à Ayette / les 29 et 30 mai 2015 au Théâtre de l’Aventure à Hem + le 28 mai, séance scolaire / le 9 juin 2015 à Angers + séance scolaire // Le 20 mai 2015, représentation spéciale avec des amateurs devant le cimetière chinois de Ruminghem.
En Chine, le spectacle est programmé en Juin 2015 dans le cadre du French May et du 25 juin au 1er août 2015 dans le cadre du festival Croisements.
« A la recherche d’un théâtre perdu »
Giovanni Poli (1917-1979) et la Néo-Commedia dell’Arte en Italie, entre tradition et expérimentation
par Giulia Filacanapa
Sous la direction de Françoise Decroisette et Anna Maria Testaverde
Le vendredi 15 mai 2015 à 14h
Université Paris 8 Saint-Denis
2 rue de la Liberté
93526 Saint-Denis cedex
Salle des Thèses
Espace Deleuze
Bâtiment A, 1er étage (face à l’amphi A2)
Le Jury sera composé de:
M. Marco Consolini (Professeur, Université Paris 3, section 18)
Mme Françoise Decroisette (Professeure émérite, Université Paris 8, section 14)
Mme Anna Maria Testaverde (Professore associato, Università de Bergamo, études théâtrales)
- Piermario Vescovo (Professore associato, Università di Ca’ Foscari, littérature théâtrale italienne)
La soutenance sera suivie d’un buffet auquel vous êtes cordialement conviés (pour faciliter l’organisation de ce dernier, je vous invite à me confirmer votre présence).
Résumé
L’Europe du XXe siècle voit la création de compagnies et centres de recherche qui se consacrent à la redécouverte des modules de la Commedia dell’Arte, véritable forme de théâtre traditionnel en Occident qui a décliné après la ‘réforme’ de Goldoni. Giovanni Poli représente l’exemple le plus significatif de ce processus de réinvention que nous appelons, avec un néologisme, néo-Commedia dell’Arte. Ayant eu accès à ses archives privées et après les avoir retranscrites et proposées en annexe, nous avons pu entrer dans tous les méandres de son activité polymorphe et voir comment elles répondaient à nos questionnements. La présente thèse est structurée en trois parties allant de la pensée à la pratique et vice-versa. La première interroge la formation de la pensée de Poli autour de la Commedia dell’Arte afin de comprendre quelle était la démarche qui l’a conduit à concevoir son spectacle le plus célèbre La Commedia degli Zanni (1958). La deuxième est dédiée à sa pratique artistique, corrélée à la fois à la dramaturgie et aux mises en scène inspirées du phénomène historique, attachant une importance particulière à la technique du montage anthologique, l’une des caractéristiques principales de son écriture ‘postdramatique’. La dernière partie analyse les processus de transmission de cette réinvention, qui advient à travers son activité pédagogique et les ‘voyages’ au sens propre et au sens figuré entrepris avec sa néo-Commedia dell’Arte. Puisant à la fois dans la tradition théâtrale italienne et dans l’avant-garde, il réinvente un système référentiel, se révélant une cheville indispensable à la reconstruction du panorama européen et mondial de la néo-Commedia dell’Arte.
L’histoire des travailleurs chinois présents en France durant la Première Guerre mondiale est un épisode méconnu de notre histoire moderne et coloniale.
Recrutés par les armées britanniques et françaises, engagés comme main d’oeuvre à l’arrière des champs de bataille, ils seront pourtant plus de 130 000 à traverser les mers et les continents pour se retrouver sous le sifflement des bombes et face à l’hostilité de leurs employeurs, qui ne les considèrent que pour leur force de travail.
Regroupés en camps de travail, isolés, sous-payés et victimes du regard d’un monde qui les fantasme et les méprise pendant qu’il envoie ses propres citoyens à la boucherie, ils s’organiseront pourtant an de survivre et créer des liens.
Parcourant les traces laissées par ces hommes, notamment dans le nord de la France, le Théâtre de l’Ordinaire et l’Asian People’s Theatre Festival Society veulent revenir sur les conditions de leur exil, sur les lieux de travail et dans les camps, ainsi que sur leurs rapports avec l’armée et les populations locales.
Des artistes chinois et français travailleront ensemble autour de cette mémoire et de ses répercussions pour créer une forme théâtrale originale intégrant les manières de faire et de voir le monde propre à chacun.
Des résidences de créations sont prévues dès avril 2015 pour un spectacle qui sera joué en France puis en Chine. Les compagnies ont également été invitées à présenter leur travail en 2016 dans le cadre de festivals internationaux en Corée et en Turquie.
Les premières dates prévues (France) : le 8 mai 2015 à Oye-Plage, le 9 mai à Vieille Eglise, dans la Communauté de Communes de la Région d’Audruicq + le 11 mai, séance scolaire / les 12, 13 et 14 mai 2015 au Théâtre de Ménilmontant à Paris /le 16 mai à Chatellerault dans le cadre de la nuit des musées / le 25 mai à Ayette / les 29 et 30 mai 2015 au Théâtre de l’Aventure à Hem + le 28 mai, séance scolaire / le 9 juin 2015 à Angers + séance scolaire // Le 20 mai 2015, représentation spéciale avec des amateurs devant le cimetière chinois de Ruminghem.
En Chine, le spectacle est programmé en Juin 2015 dans le cadre du French May et du 25 juin au 1er août 2015 dans le cadre du festival Croisements.
L’histoire des travailleurs chinois présents en France durant la Première Guerre mondiale est un épisode méconnu de notre histoire moderne et coloniale.
Recrutés par les armées britanniques et françaises, engagés comme main d’oeuvre à l’arrière des champs de bataille, ils seront pourtant plus de 130 000 à traverser les mers et les continents pour se retrouver sous le sifflement des bombes et face à l’hostilité de leurs employeurs, qui ne les considèrent que pour leur force de travail.
Regroupés en camps de travail, isolés, sous-payés et victimes du regard d’un monde qui les fantasme et les méprise pendant qu’il envoie ses propres citoyens à la boucherie, ils s’organiseront pourtant an de survivre et créer des liens.
Parcourant les traces laissées par ces hommes, notamment dans le nord de la France, le Théâtre de l’Ordinaire et l’Asian People’s Theatre Festival Society veulent revenir sur les conditions de leur exil, sur les lieux de travail et dans les camps, ainsi que sur leurs rapports avec l’armée et les populations locales.
Des artistes chinois et français travailleront ensemble autour de cette mémoire et de ses répercussions pour créer une forme théâtrale originale intégrant les manières de faire et de voir le monde propre à chacun.
Des résidences de créations sont prévues dès avril 2015 pour un spectacle qui sera joué en France puis en Chine. Les compagnies ont également été invitées à présenter leur travail en 2016 dans le cadre de festivals internationaux en Corée et en Turquie.
Les premières dates prévues (France) : le 8 mai 2015 à Oye-Plage, le 9 mai à Vieille Eglise, dans la Communauté de Communes de la Région d’Audruicq + le 11 mai, séance scolaire / les 12, 13 et 14 mai 2015 au Théâtre de Ménilmontant à Paris /le 16 mai à Chatellerault dans le cadre de la nuit des musées / le 25 mai à Ayette / les 29 et 30 mai 2015 au Théâtre de l’Aventure à Hem + le 28 mai, séance scolaire / le 9 juin 2015 à Angers + séance scolaire // Le 20 mai 2015, représentation spéciale avec des amateurs devant le cimetière chinois de Ruminghem.
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Les Mamies fugueuses – avec la compagnie anglo-canadienne Dark Matter.
Dans le cadre de son pôle “Recherche et création”, l’espace culturel des arts du masque accueille la compagnie anglo-canadienne Dark Matter pour une résidence d’artistes. Elles présenteront au public une première ébauche de leur nouveau spectacle “Les mamies fugueuses”, suivie d’un temps d’échange avec le public.
Résumé du spectacle :
Âgée de 92 ans, Marion est sourde comme un pot !
Un beau jour, sa meilleure amie, Carmella, lui offre un cadeau qui va bouleverser sa vie.
Date et horaire
Le 27 mai à 19h30
Le spectacle dure 20 minutes et sera suivi d’un temps d’échange avec les artistes.
Nous vous prions de nous contacter pour réserver votre place si vous souhaitez participer à cet événement : 09 54 84 84 84
L’histoire des travailleurs chinois présents en France durant la Première Guerre mondiale est un épisode méconnu de notre histoire moderne et coloniale.
Recrutés par les armées britanniques et françaises, engagés comme main d’oeuvre à l’arrière des champs de bataille, ils seront pourtant plus de 130 000 à traverser les mers et les continents pour se retrouver sous le sifflement des bombes et face à l’hostilité de leurs employeurs, qui ne les considèrent que pour leur force de travail.
Regroupés en camps de travail, isolés, sous-payés et victimes du regard d’un monde qui les fantasme et les méprise pendant qu’il envoie ses propres citoyens à la boucherie, ils s’organiseront pourtant an de survivre et créer des liens.
Parcourant les traces laissées par ces hommes, notamment dans le nord de la France, le Théâtre de l’Ordinaire et l’Asian People’s Theatre Festival Society veulent revenir sur les conditions de leur exil, sur les lieux de travail et dans les camps, ainsi que sur leurs rapports avec l’armée et les populations locales.
Des artistes chinois et français travailleront ensemble autour de cette mémoire et de ses répercussions pour créer une forme théâtrale originale intégrant les manières de faire et de voir le monde propre à chacun.
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Les premières dates prévues (France) : le 8 mai 2015 à Oye-Plage, le 9 mai à Vieille Eglise, dans la Communauté de Communes de la Région d’Audruicq + le 11 mai, séance scolaire / les 12, 13 et 14 mai 2015 au Théâtre de Ménilmontant à Paris /le 16 mai à Chatellerault dans le cadre de la nuit des musées / le 25 mai à Ayette / les 29 et 30 mai 2015 au Théâtre de l’Aventure à Hem + le 28 mai, séance scolaire / le 9 juin 2015 à Angers + séance scolaire // Le 20 mai 2015, représentation spéciale avec des amateurs devant le cimetière chinois de Ruminghem.
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L’histoire des travailleurs chinois présents en France durant la Première Guerre mondiale est un épisode méconnu de notre histoire moderne et coloniale.
Recrutés par les armées britanniques et françaises, engagés comme main d’oeuvre à l’arrière des champs de bataille, ils seront pourtant plus de 130 000 à traverser les mers et les continents pour se retrouver sous le sifflement des bombes et face à l’hostilité de leurs employeurs, qui ne les considèrent que pour leur force de travail.
Regroupés en camps de travail, isolés, sous-payés et victimes du regard d’un monde qui les fantasme et les méprise pendant qu’il envoie ses propres citoyens à la boucherie, ils s’organiseront pourtant an de survivre et créer des liens.
Parcourant les traces laissées par ces hommes, notamment dans le nord de la France, le Théâtre de l’Ordinaire et l’Asian People’s Theatre Festival Society veulent revenir sur les conditions de leur exil, sur les lieux de travail et dans les camps, ainsi que sur leurs rapports avec l’armée et les populations locales.
Des artistes chinois et français travailleront ensemble autour de cette mémoire et de ses répercussions pour créer une forme théâtrale originale intégrant les manières de faire et de voir le monde propre à chacun.
Des résidences de créations sont prévues dès avril 2015 pour un spectacle qui sera joué en France puis en Chine. Les compagnies ont également été invitées à présenter leur travail en 2016 dans le cadre de festivals internationaux en Corée et en Turquie.
Les premières dates prévues (France) : le 8 mai 2015 à Oye-Plage, le 9 mai à Vieille Eglise, dans la Communauté de Communes de la Région d’Audruicq + le 11 mai, séance scolaire / les 12, 13 et 14 mai 2015 au Théâtre de Ménilmontant à Paris /le 16 mai à Chatellerault dans le cadre de la nuit des musées / le 25 mai à Ayette / les 29 et 30 mai 2015 au Théâtre de l’Aventure à Hem + le 28 mai, séance scolaire / le 9 juin 2015 à Angers + séance scolaire // Le 20 mai 2015, représentation spéciale avec des amateurs devant le cimetière chinois de Ruminghem.
En Chine, le spectacle est programmé en Juin 2015 dans le cadre du French May et du 25 juin au 1er août 2015 dans le cadre du festival Croisements.
L’histoire des travailleurs chinois présents en France durant la Première Guerre mondiale est un épisode méconnu de notre histoire moderne et coloniale.
Recrutés par les armées britanniques et françaises, engagés comme main d’oeuvre à l’arrière des champs de bataille, ils seront pourtant plus de 130 000 à traverser les mers et les continents pour se retrouver sous le sifflement des bombes et face à l’hostilité de leurs employeurs, qui ne les considèrent que pour leur force de travail.
Regroupés en camps de travail, isolés, sous-payés et victimes du regard d’un monde qui les fantasme et les méprise pendant qu’il envoie ses propres citoyens à la boucherie, ils s’organiseront pourtant an de survivre et créer des liens.
Parcourant les traces laissées par ces hommes, notamment dans le nord de la France, le Théâtre de l’Ordinaire et l’Asian People’s Theatre Festival Society veulent revenir sur les conditions de leur exil, sur les lieux de travail et dans les camps, ainsi que sur leurs rapports avec l’armée et les populations locales.
Des artistes chinois et français travailleront ensemble autour de cette mémoire et de ses répercussions pour créer une forme théâtrale originale intégrant les manières de faire et de voir le monde propre à chacun.
Des résidences de créations sont prévues dès avril 2015 pour un spectacle qui sera joué en France puis en Chine. Les compagnies ont également été invitées à présenter leur travail en 2016 dans le cadre de festivals internationaux en Corée et en Turquie.
Les premières dates prévues (France) : le 8 mai 2015 à Oye-Plage, le 9 mai à Vieille Eglise, dans la Communauté de Communes de la Région d’Audruicq + le 11 mai, séance scolaire / les 12, 13 et 14 mai 2015 au Théâtre de Ménilmontant à Paris /le 16 mai à Chatellerault dans le cadre de la nuit des musées / le 25 mai à Ayette / les 29 et 30 mai 2015 au Théâtre de l’Aventure à Hem + le 28 mai, séance scolaire / le 9 juin 2015 à Angers + séance scolaire // Le 20 mai 2015, représentation spéciale avec des amateurs devant le cimetière chinois de Ruminghem.
En Chine, le spectacle est programmé en Juin 2015 dans le cadre du French May et du 25 juin au 1er août 2015 dans le cadre du festival Croisements.
L’histoire des travailleurs chinois présents en France durant la Première Guerre mondiale est un épisode méconnu de notre histoire moderne et coloniale.
Recrutés par les armées britanniques et françaises, engagés comme main d’oeuvre à l’arrière des champs de bataille, ils seront pourtant plus de 130 000 à traverser les mers et les continents pour se retrouver sous le sifflement des bombes et face à l’hostilité de leurs employeurs, qui ne les considèrent que pour leur force de travail.
Regroupés en camps de travail, isolés, sous-payés et victimes du regard d’un monde qui les fantasme et les méprise pendant qu’il envoie ses propres citoyens à la boucherie, ils s’organiseront pourtant an de survivre et créer des liens.
Parcourant les traces laissées par ces hommes, notamment dans le nord de la France, le Théâtre de l’Ordinaire et l’Asian People’s Theatre Festival Society veulent revenir sur les conditions de leur exil, sur les lieux de travail et dans les camps, ainsi que sur leurs rapports avec l’armée et les populations locales.
Des artistes chinois et français travailleront ensemble autour de cette mémoire et de ses répercussions pour créer une forme théâtrale originale intégrant les manières de faire et de voir le monde propre à chacun.
Des résidences de créations sont prévues dès avril 2015 pour un spectacle qui sera joué en France puis en Chine. Les compagnies ont également été invitées à présenter leur travail en 2016 dans le cadre de festivals internationaux en Corée et en Turquie.
Les premières dates prévues (France) : le 8 mai 2015 à Oye-Plage, le 9 mai à Vieille Eglise, dans la Communauté de Communes de la Région d’Audruicq + le 11 mai, séance scolaire / les 12, 13 et 14 mai 2015 au Théâtre de Ménilmontant à Paris /le 16 mai à Chatellerault dans le cadre de la nuit des musées / le 25 mai à Ayette / les 29 et 30 mai 2015 au Théâtre de l’Aventure à Hem + le 28 mai, séance scolaire / le 9 juin 2015 à Angers + séance scolaire // Le 20 mai 2015, représentation spéciale avec des amateurs devant le cimetière chinois de Ruminghem.
En Chine, le spectacle est programmé en Juin 2015 dans le cadre du French May et du 25 juin au 1er août 2015 dans le cadre du festival Croisements.
L’histoire des travailleurs chinois présents en France durant la Première Guerre mondiale est un épisode méconnu de notre histoire moderne et coloniale.
Recrutés par les armées britanniques et françaises, engagés comme main d’oeuvre à l’arrière des champs de bataille, ils seront pourtant plus de 130 000 à traverser les mers et les continents pour se retrouver sous le sifflement des bombes et face à l’hostilité de leurs employeurs, qui ne les considèrent que pour leur force de travail.
Regroupés en camps de travail, isolés, sous-payés et victimes du regard d’un monde qui les fantasme et les méprise pendant qu’il envoie ses propres citoyens à la boucherie, ils s’organiseront pourtant an de survivre et créer des liens.
Parcourant les traces laissées par ces hommes, notamment dans le nord de la France, le Théâtre de l’Ordinaire et l’Asian People’s Theatre Festival Society veulent revenir sur les conditions de leur exil, sur les lieux de travail et dans les camps, ainsi que sur leurs rapports avec l’armée et les populations locales.
Des artistes chinois et français travailleront ensemble autour de cette mémoire et de ses répercussions pour créer une forme théâtrale originale intégrant les manières de faire et de voir le monde propre à chacun.
Des résidences de créations sont prévues dès avril 2015 pour un spectacle qui sera joué en France puis en Chine. Les compagnies ont également été invitées à présenter leur travail en 2016 dans le cadre de festivals internationaux en Corée et en Turquie.
Les premières dates prévues (France) : le 8 mai 2015 à Oye-Plage, le 9 mai à Vieille Eglise, dans la Communauté de Communes de la Région d’Audruicq + le 11 mai, séance scolaire / les 12, 13 et 14 mai 2015 au Théâtre de Ménilmontant à Paris /le 16 mai à Chatellerault dans le cadre de la nuit des musées / le 25 mai à Ayette / les 29 et 30 mai 2015 au Théâtre de l’Aventure à Hem + le 28 mai, séance scolaire / le 9 juin 2015 à Angers + séance scolaire // Le 20 mai 2015, représentation spéciale avec des amateurs devant le cimetière chinois de Ruminghem.
En Chine, le spectacle est programmé en Juin 2015 dans le cadre du French May et du 25 juin au 1er août 2015 dans le cadre du festival Croisements.
L’histoire des travailleurs chinois présents en France durant la Première Guerre mondiale est un épisode méconnu de notre histoire moderne et coloniale.
Recrutés par les armées britanniques et françaises, engagés comme main d’oeuvre à l’arrière des champs de bataille, ils seront pourtant plus de 130 000 à traverser les mers et les continents pour se retrouver sous le sifflement des bombes et face à l’hostilité de leurs employeurs, qui ne les considèrent que pour leur force de travail.
Regroupés en camps de travail, isolés, sous-payés et victimes du regard d’un monde qui les fantasme et les méprise pendant qu’il envoie ses propres citoyens à la boucherie, ils s’organiseront pourtant an de survivre et créer des liens.
Parcourant les traces laissées par ces hommes, notamment dans le nord de la France, le Théâtre de l’Ordinaire et l’Asian People’s Theatre Festival Society veulent revenir sur les conditions de leur exil, sur les lieux de travail et dans les camps, ainsi que sur leurs rapports avec l’armée et les populations locales.
Des artistes chinois et français travailleront ensemble autour de cette mémoire et de ses répercussions pour créer une forme théâtrale originale intégrant les manières de faire et de voir le monde propre à chacun.
Des résidences de créations sont prévues dès avril 2015 pour un spectacle qui sera joué en France puis en Chine. Les compagnies ont également été invitées à présenter leur travail en 2016 dans le cadre de festivals internationaux en Corée et en Turquie.
Les premières dates prévues (France) : le 8 mai 2015 à Oye-Plage, le 9 mai à Vieille Eglise, dans la Communauté de Communes de la Région d’Audruicq + le 11 mai, séance scolaire / les 12, 13 et 14 mai 2015 au Théâtre de Ménilmontant à Paris /le 16 mai à Chatellerault dans le cadre de la nuit des musées / le 25 mai à Ayette / les 29 et 30 mai 2015 au Théâtre de l’Aventure à Hem + le 28 mai, séance scolaire / le 9 juin 2015 à Angers + séance scolaire // Le 20 mai 2015, représentation spéciale avec des amateurs devant le cimetière chinois de Ruminghem.
En Chine, le spectacle est programmé en Juin 2015 dans le cadre du French May et du 25 juin au 1er août 2015 dans le cadre du festival Croisements.
Spectacle éligible aux P’tits Molières 2017
Récit de voyage et contes amérindiens principalement issus de la tradition Lakota (Dakota du Sud)
Premier 0pus des treize chemins de grand-mère Terre.
MAMA KHAN, le chant de la terre Lakota.
Spectacle écrit, interprété et mis en scène par Khadija El Mahdi
Spectacle familial à partir de 7 ans
du 25 septembre au 18 décembre les dimanches à 15h30
Une comédienne entre en scène. Un rêve l’a amené à partir au bout du monde avec un masque de grand-mère qu’on lui a transmis. Elle est là pour nous conter sa quête et nous transmettre ce qu’elle a apprit de ce voyage. Devant vous, elle prend le masque et le place sur son visage. Alors la magie du théâtre opère et elle devient une vieille femme qui se nomme Mama Khan…
Mama Khan, la grand-mère, conte et raconte depuis la nuit des temps la création du monde et de ses merveilles. De notre grande mère, la terre, elle vous transmettra les messages qu’elle a reçu en terre Lakota. La tortue lui a offert un tambour. Le corbeau qui lui a enseigné la liberté. Le pivert lui a transmit l’art de la flûte. Le bison l’a prise sur son dos afin de lui permettre de voir toute la beauté du monde. L’aigle l’a déposé au sommet des montagnes et lui a fait don de la magie des mots et du silence.
Spectacle éligible aux P’tits Molières 2017
Récit de voyage et contes amérindiens principalement issus de la tradition Lakota (Dakota du Sud)
Premier 0pus des treize chemins de grand-mère Terre.
MAMA KHAN, le chant de la terre Lakota.
Spectacle écrit, interprété et mis en scène par Khadija El Mahdi
Spectacle familial à partir de 7 ans
du 25 septembre au 18 décembre les dimanches à 15h30
Une comédienne entre en scène. Un rêve l’a amené à partir au bout du monde avec un masque de grand-mère qu’on lui a transmis. Elle est là pour nous conter sa quête et nous transmettre ce qu’elle a apprit de ce voyage. Devant vous, elle prend le masque et le place sur son visage. Alors la magie du théâtre opère et elle devient une vieille femme qui se nomme Mama Khan…
Mama Khan, la grand-mère, conte et raconte depuis la nuit des temps la création du monde et de ses merveilles. De notre grande mère, la terre, elle vous transmettra les messages qu’elle a reçu en terre Lakota. La tortue lui a offert un tambour. Le corbeau qui lui a enseigné la liberté. Le pivert lui a transmit l’art de la flûte. Le bison l’a prise sur son dos afin de lui permettre de voir toute la beauté du monde. L’aigle l’a déposé au sommet des montagnes et lui a fait don de la magie des mots et du silence.
Spectacle éligible aux P’tits Molières 2017
Récit de voyage et contes amérindiens principalement issus de la tradition Lakota (Dakota du Sud)
Premier 0pus des treize chemins de grand-mère Terre.
MAMA KHAN, le chant de la terre Lakota.
Spectacle écrit, interprété et mis en scène par Khadija El Mahdi
Spectacle familial à partir de 7 ans
du 25 septembre au 18 décembre les dimanches à 15h30
Une comédienne entre en scène. Un rêve l’a amené à partir au bout du monde avec un masque de grand-mère qu’on lui a transmis. Elle est là pour nous conter sa quête et nous transmettre ce qu’elle a apprit de ce voyage. Devant vous, elle prend le masque et le place sur son visage. Alors la magie du théâtre opère et elle devient une vieille femme qui se nomme Mama Khan…
Mama Khan, la grand-mère, conte et raconte depuis la nuit des temps la création du monde et de ses merveilles. De notre grande mère, la terre, elle vous transmettra les messages qu’elle a reçu en terre Lakota. La tortue lui a offert un tambour. Le corbeau qui lui a enseigné la liberté. Le pivert lui a transmit l’art de la flûte. Le bison l’a prise sur son dos afin de lui permettre de voir toute la beauté du monde. L’aigle l’a déposé au sommet des montagnes et lui a fait don de la magie des mots et du silence.
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Récit de voyage et contes amérindiens principalement issus de la tradition Lakota (Dakota du Sud)
Premier 0pus des treize chemins de grand-mère Terre.
MAMA KHAN, le chant de la terre Lakota.
Spectacle écrit, interprété et mis en scène par Khadija El Mahdi
Spectacle familial à partir de 7 ans
du 25 septembre au 18 décembre les dimanches à 15h30
Une comédienne entre en scène. Un rêve l’a amené à partir au bout du monde avec un masque de grand-mère qu’on lui a transmis. Elle est là pour nous conter sa quête et nous transmettre ce qu’elle a apprit de ce voyage. Devant vous, elle prend le masque et le place sur son visage. Alors la magie du théâtre opère et elle devient une vieille femme qui se nomme Mama Khan…
Mama Khan, la grand-mère, conte et raconte depuis la nuit des temps la création du monde et de ses merveilles. De notre grande mère, la terre, elle vous transmettra les messages qu’elle a reçu en terre Lakota. La tortue lui a offert un tambour. Le corbeau qui lui a enseigné la liberté. Le pivert lui a transmit l’art de la flûte. Le bison l’a prise sur son dos afin de lui permettre de voir toute la beauté du monde. L’aigle l’a déposé au sommet des montagnes et lui a fait don de la magie des mots et du silence.

Soirée d’inauguration des 4è Rencontres des Créateurs de Masques, CORPS ET MASQUES
Présentations des Rencontres
Expositions de masques et photos de masques
Exposition de Thierry François: Masques-Génies dans la forêt
Hommages, et surprises.
Rencontre Plateau: essais de masques dirigés, ouverts à tous
Spectacle éligible aux P’tits Molières 2017
Récit de voyage et contes amérindiens principalement issus de la tradition Lakota (Dakota du Sud)
Premier 0pus des treize chemins de grand-mère Terre.
MAMA KHAN, le chant de la terre Lakota.
Spectacle écrit, interprété et mis en scène par Khadija El Mahdi
Spectacle familial à partir de 7 ans
du 25 septembre au 18 décembre les dimanches à 15h30
Une comédienne entre en scène. Un rêve l’a amené à partir au bout du monde avec un masque de grand-mère qu’on lui a transmis. Elle est là pour nous conter sa quête et nous transmettre ce qu’elle a apprit de ce voyage. Devant vous, elle prend le masque et le place sur son visage. Alors la magie du théâtre opère et elle devient une vieille femme qui se nomme Mama Khan…
Mama Khan, la grand-mère, conte et raconte depuis la nuit des temps la création du monde et de ses merveilles. De notre grande mère, la terre, elle vous transmettra les messages qu’elle a reçu en terre Lakota. La tortue lui a offert un tambour. Le corbeau qui lui a enseigné la liberté. Le pivert lui a transmit l’art de la flûte. Le bison l’a prise sur son dos afin de lui permettre de voir toute la beauté du monde. L’aigle l’a déposé au sommet des montagnes et lui a fait don de la magie des mots et du silence.
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Récit de voyage et contes amérindiens principalement issus de la tradition Lakota (Dakota du Sud)
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MAMA KHAN, le chant de la terre Lakota.
Spectacle écrit, interprété et mis en scène par Khadija El Mahdi
Spectacle familial à partir de 7 ans
du 25 septembre au 18 décembre les dimanches à 15h30
Une comédienne entre en scène. Un rêve l’a amené à partir au bout du monde avec un masque de grand-mère qu’on lui a transmis. Elle est là pour nous conter sa quête et nous transmettre ce qu’elle a apprit de ce voyage. Devant vous, elle prend le masque et le place sur son visage. Alors la magie du théâtre opère et elle devient une vieille femme qui se nomme Mama Khan…
Mama Khan, la grand-mère, conte et raconte depuis la nuit des temps la création du monde et de ses merveilles. De notre grande mère, la terre, elle vous transmettra les messages qu’elle a reçu en terre Lakota. La tortue lui a offert un tambour. Le corbeau qui lui a enseigné la liberté. Le pivert lui a transmit l’art de la flûte. Le bison l’a prise sur son dos afin de lui permettre de voir toute la beauté du monde. L’aigle l’a déposé au sommet des montagnes et lui a fait don de la magie des mots et du silence.
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Spectacle écrit, interprété et mis en scène par Khadija El Mahdi
Spectacle familial à partir de 7 ans
du 25 septembre au 18 décembre les dimanches à 15h30
Une comédienne entre en scène. Un rêve l’a amené à partir au bout du monde avec un masque de grand-mère qu’on lui a transmis. Elle est là pour nous conter sa quête et nous transmettre ce qu’elle a apprit de ce voyage. Devant vous, elle prend le masque et le place sur son visage. Alors la magie du théâtre opère et elle devient une vieille femme qui se nomme Mama Khan…
Mama Khan, la grand-mère, conte et raconte depuis la nuit des temps la création du monde et de ses merveilles. De notre grande mère, la terre, elle vous transmettra les messages qu’elle a reçu en terre Lakota. La tortue lui a offert un tambour. Le corbeau qui lui a enseigné la liberté. Le pivert lui a transmit l’art de la flûte. Le bison l’a prise sur son dos afin de lui permettre de voir toute la beauté du monde. L’aigle l’a déposé au sommet des montagnes et lui a fait don de la magie des mots et du silence.
Spectacle éligible aux P’tits Molières 2017
Récit de voyage et contes amérindiens principalement issus de la tradition Lakota (Dakota du Sud)
Premier 0pus des treize chemins de grand-mère Terre.
MAMA KHAN, le chant de la terre Lakota.
Spectacle écrit, interprété et mis en scène par Khadija El Mahdi
Spectacle familial à partir de 7 ans
du 25 septembre au 18 décembre les dimanches à 15h30
Une comédienne entre en scène. Un rêve l’a amené à partir au bout du monde avec un masque de grand-mère qu’on lui a transmis. Elle est là pour nous conter sa quête et nous transmettre ce qu’elle a apprit de ce voyage. Devant vous, elle prend le masque et le place sur son visage. Alors la magie du théâtre opère et elle devient une vieille femme qui se nomme Mama Khan…
Mama Khan, la grand-mère, conte et raconte depuis la nuit des temps la création du monde et de ses merveilles. De notre grande mère, la terre, elle vous transmettra les messages qu’elle a reçu en terre Lakota. La tortue lui a offert un tambour. Le corbeau qui lui a enseigné la liberté. Le pivert lui a transmit l’art de la flûte. Le bison l’a prise sur son dos afin de lui permettre de voir toute la beauté du monde. L’aigle l’a déposé au sommet des montagnes et lui a fait don de la magie des mots et du silence.
Spectacle éligible aux P’tits Molières 2017
Récit de voyage et contes amérindiens principalement issus de la tradition Lakota (Dakota du Sud)
Premier 0pus des treize chemins de grand-mère Terre.
MAMA KHAN, le chant de la terre Lakota.
Spectacle écrit, interprété et mis en scène par Khadija El Mahdi
Spectacle familial à partir de 7 ans
du 25 septembre au 18 décembre les dimanches à 15h30
Une comédienne entre en scène. Un rêve l’a amené à partir au bout du monde avec un masque de grand-mère qu’on lui a transmis. Elle est là pour nous conter sa quête et nous transmettre ce qu’elle a apprit de ce voyage. Devant vous, elle prend le masque et le place sur son visage. Alors la magie du théâtre opère et elle devient une vieille femme qui se nomme Mama Khan…
Mama Khan, la grand-mère, conte et raconte depuis la nuit des temps la création du monde et de ses merveilles. De notre grande mère, la terre, elle vous transmettra les messages qu’elle a reçu en terre Lakota. La tortue lui a offert un tambour. Le corbeau qui lui a enseigné la liberté. Le pivert lui a transmit l’art de la flûte. Le bison l’a prise sur son dos afin de lui permettre de voir toute la beauté du monde. L’aigle l’a déposé au sommet des montagnes et lui a fait don de la magie des mots et du silence.
Spectacle éligible aux P’tits Molières 2017
Récit de voyage et contes amérindiens principalement issus de la tradition Lakota (Dakota du Sud)
Premier 0pus des treize chemins de grand-mère Terre.
MAMA KHAN, le chant de la terre Lakota.
Spectacle écrit, interprété et mis en scène par Khadija El Mahdi
Spectacle familial à partir de 7 ans
du 25 septembre au 18 décembre les dimanches à 15h30
Une comédienne entre en scène. Un rêve l’a amené à partir au bout du monde avec un masque de grand-mère qu’on lui a transmis. Elle est là pour nous conter sa quête et nous transmettre ce qu’elle a apprit de ce voyage. Devant vous, elle prend le masque et le place sur son visage. Alors la magie du théâtre opère et elle devient une vieille femme qui se nomme Mama Khan…
Mama Khan, la grand-mère, conte et raconte depuis la nuit des temps la création du monde et de ses merveilles. De notre grande mère, la terre, elle vous transmettra les messages qu’elle a reçu en terre Lakota. La tortue lui a offert un tambour. Le corbeau qui lui a enseigné la liberté. Le pivert lui a transmit l’art de la flûte. Le bison l’a prise sur son dos afin de lui permettre de voir toute la beauté du monde. L’aigle l’a déposé au sommet des montagnes et lui a fait don de la magie des mots et du silence.
Spectacle éligible aux P’tits Molières 2017
Récit de voyage et contes amérindiens principalement issus de la tradition Lakota (Dakota du Sud)
Premier 0pus des treize chemins de grand-mère Terre.
MAMA KHAN, le chant de la terre Lakota.
Spectacle écrit, interprété et mis en scène par Khadija El Mahdi
Spectacle familial à partir de 7 ans
du 25 septembre au 18 décembre les dimanches à 15h30
Une comédienne entre en scène. Un rêve l’a amené à partir au bout du monde avec un masque de grand-mère qu’on lui a transmis. Elle est là pour nous conter sa quête et nous transmettre ce qu’elle a apprit de ce voyage. Devant vous, elle prend le masque et le place sur son visage. Alors la magie du théâtre opère et elle devient une vieille femme qui se nomme Mama Khan…
Mama Khan, la grand-mère, conte et raconte depuis la nuit des temps la création du monde et de ses merveilles. De notre grande mère, la terre, elle vous transmettra les messages qu’elle a reçu en terre Lakota. La tortue lui a offert un tambour. Le corbeau qui lui a enseigné la liberté. Le pivert lui a transmit l’art de la flûte. Le bison l’a prise sur son dos afin de lui permettre de voir toute la beauté du monde. L’aigle l’a déposé au sommet des montagnes et lui a fait don de la magie des mots et du silence.
Spectacle éligible aux P’tits Molières 2017
Récit de voyage et contes amérindiens principalement issus de la tradition Lakota (Dakota du Sud)
Premier 0pus des treize chemins de grand-mère Terre.
MAMA KHAN, le chant de la terre Lakota.
Spectacle écrit, interprété et mis en scène par Khadija El Mahdi
Spectacle familial à partir de 7 ans
du 25 septembre au 18 décembre les dimanches à 15h30
Une comédienne entre en scène. Un rêve l’a amené à partir au bout du monde avec un masque de grand-mère qu’on lui a transmis. Elle est là pour nous conter sa quête et nous transmettre ce qu’elle a apprit de ce voyage. Devant vous, elle prend le masque et le place sur son visage. Alors la magie du théâtre opère et elle devient une vieille femme qui se nomme Mama Khan…
Mama Khan, la grand-mère, conte et raconte depuis la nuit des temps la création du monde et de ses merveilles. De notre grande mère, la terre, elle vous transmettra les messages qu’elle a reçu en terre Lakota. La tortue lui a offert un tambour. Le corbeau qui lui a enseigné la liberté. Le pivert lui a transmit l’art de la flûte. Le bison l’a prise sur son dos afin de lui permettre de voir toute la beauté du monde. L’aigle l’a déposé au sommet des montagnes et lui a fait don de la magie des mots et du silence.
Colloque international
LE MASQUE GREC
Pratiques scéniques antiques et contemporaines
Rencontres Masques et Musique
15h – 18h
Rencontre animée par
Alaric Chagnard et Sebastien Bickert
Facteurs de masques
Possibilité d’essayer les masques
20h30
Cabaret Masques et Musique
avec les élèves musiciens et comédiens
du Conservatoire Henri Dutilleux
Depuis quelques années le Département Théâtre propose du jeu masqué (Olivia Machon) en étroite collaboration avec l’improvisation musicale (Elodie Gaudet) en utilisant les masques d’Alaric Chagnard et Sébastien Bickert.
Cette année, les masques sortent sur des airs de flûte, de guitare électrique, de violon, de trombone ou de basse. Les musiciens créent le décor sonore et jouent masqués, inspirés par les personnages et portés par la musique.
Ces rencontres sont l’occasion de réunir musiciens, comédiens, masques et instruments lors d’un cabaret festif riche en variétés ; de découvrir les talents cachés des élèves, révélés par les masques et leur humanité.
Soirée festive
Haute en couleur et enjouée
Rêve et bonne humeur assurés !

« Personnages en folie et sketches hilarants, la Familie Flöz est de retour »
Depuis deux saisons, la Familie Flöz enflamme le Théâtre La Piscine à chaque spectacle, du jardin de la maison de retraite (Infinita) à la réception d’un hôtel miteux (Hôtel Paradiso). Avec Teatro Delusio, bienvenue dans les coulisses d’un spectacle d’opéra ! Trois techniciens s’y livrent une guerre sans merci : rien ne va plus entre le doux rêveur, la brute épaisse et le bourru au cœur tendre. Croche-pieds et pièges en tout genre, tout est permis – au risque de provoquer un court-circuit. Mais lorsque le spectacle commence, silence plateau : tout doit être (presque) en ordre pour le passage de la diva, du comédien égocentrique ou de la petite ballerine toujours en retard…
Comme toujours avec la Familie Flöz, ce sont près de trente personnages survoltés qui se succèdent devant nous : avec ses masques inimitables et une inventivité sans limites, le collectif berlinois signe une décapante déclaration d’amour au monde du théâtre, pour le meilleur et pour le pire.
« Un triomphe théâtral sans comparaison. » The Sunday Times, 2016

Une dizaine de membres de l’association des Créateurs de Masques exposent au Fil Rouge de 16h à 19h …
Participants : Sébastien Bickert, Chloé Cassagnes, Alaric Chagnard, Axelle David, Thierry François, Alban Lebrun, Emmanuelle Mouque Raggi, Stefano Perocco, Renzo Sindoca
Divers événements viendront ponctuer ces 10 journées de présence de masques scéniques à la galerie…
- Vernissage le jeudi 9 dès 18h.
Intervention théâtrale : Dominique Bernstein
- Vendredi 10, permanence de 16h à 19h assurée par Renzo Sindoca.
- Vendredi 10 novembre, performance de Xènos-Théâtre de Masques, Sept songes animistes de Birago Diop: Deuxième songe : « Sagesse » à 18h 30 Masque de Marion Even
- Samedi 11 de 14h à 16h, Stage Les Yeux dans les masques, animé par Les Petits Chantiers.
- Samedi 11, permanence de 16h à 19h assurée par Thierry François.
- Dimanche 12 de 14h à 16h, Stage Les Yeux dans les masques, animé par Patrick Forian et Sébastien Bickert.
- Lundi 13, permanence de 16h à 19h assurée par Les Petits Chantiers.
- Mardi 14, permanence de 16h à 19h assurée par Emmanuelle Mouque Raggi.
- Mardi 14, novembre, performance de Xènos-Théâtre de Masques, Sept songes animistes de Birago Diop : à 18h30 Troisième songe :« Vanité » et Quatrième songe : « Le chant des rameurs » Masque de Cyrille Dives
- Le mercredi 15 novembre à 15h: Lecture théâtralisé de “l’Ogre Georges et les bonbons roses” texte d’Arnaud Tiercelin et les illustrations de Benoit Dahan :
Interprétation : Cathy Barbou, lectrice et Bertrand Renard, jeu de masques
Conseil mise en scène et Masque de Sébastien Bickert - Mercredi 15 novembre, permanence de 16h à 19h assurée par Sébastien Bickert.
- Jeudi 16 novembre, permanence de 16h à 19h assuré par Axelle David.
- Vendredi 17 novembre, permanence de 16h à 19h assuré par Alaric Chagnard.
- Samedi 18 novembre, permanence de 16h à 19h assuré par Alban Lebrun.
- Samedi 18 novembre, performance de Xènos-Théâtre de Masques, Sept songes animistes de Birago Diop : Premier songe : « Rumeurs» à 18h30 Masque de Deborah Dunn
Le Programme
Pour venir comme spectateur: ça commence le 17 novembre à 14 h
Réservation:
Participation aux frais: 3€ ci-dessous ou sur le site en lien; 5€ sur place ; gratuit pour les membres de l’association (Adhésion 20€ par an)
Réservation possible ci-dessous ou via ce lien
Rencontre autour du masque et des arts associés … au féminin !
La Cie Théâtre Transformations organise une rencontre pour promouvoir l’art du masque – et métiers associés – au féminin. Cet événement a pour objectifs de mettre en valeur d’une part la spécificité de l’art du masque et des arts associés – marionnettes, théâtre d’objets, théâtre visuel, clown… – et d’autre part de valoriser le travail des femmes dans la culture, de la création jusqu’à la production.
Nous constatons toujours que ces 2 aspects de la culture – l’art du masque et l’art au féminin – sont insuffisamment reconnus aussi bien auprès du grand public que des institutions. Nous avons donc pour ambition de créer un événement qui contribue d’une part à montrer ce manque de reconnaissance des femmes et du masque dans la culture et d’autre part à les revaloriser.
Spectacles, ateliers, exposition et deux journées professionnelles :
Journée professionnelle – education et structures – mercredi 17 novembre
Journée professionnelle – artistes – vendredi 19 novembre
ANAK BALI ou comment j’ai appris à danser le Topeng
Voyage Initiatique – Théâtre – Danse – Masques Balinais
Solo Théâtral – 1h15
Écrit, mis en scène, interprété par Joanna Belloni.
Collaboration mise en scène et écriture : Apolline Roy
Regard chorégraphique / Voix : Elisabeth Cecchi
Masques : Pak Kadek Juliana et Pak Nyoman Juala
Costumes: Mireille Doering-Born / Putu Leeyonk
Compagnie Topèng (Théâtre Voyageur)
Le spectacle : Comment une culture que nous ne connaissons pas peut-elle nous interpeller intimement? Grâce au théâtre, des personnes de cultures différentes se rencontrent, qui n’auraient pas, sans ce lien, eu l’occasion de s’inviter pour le thé. Ce que chacun cherche dans le théâtre, peut être très varié. Un lien à une culture, un moment de communication avec des forces qui nous échappent, un lien avec une source vitale, un moyen d’équilibrer notre vision du monde ou de la questionner. ANAK BALI raconte, au travers du voyage initiatique d’ANA, comment le théâtre balinais est à la fois un artisanat, une tradition et un art mystique. Une passerelle se tisse entre quatre mondes: l’occident, l’orient, le visible et l’invisible.
ANAK BALI ou comment j’ai appris à danser le Topeng
Voyage Initiatique – Théâtre – Danse – Masques Balinais
Solo Théâtral – 1h15
Écrit, mis en scène, interprété par Joanna Belloni.
Collaboration mise en scène et écriture : Apolline Roy
Regard chorégraphique / Voix : Elisabeth Cecchi
Masques : Pak Kadek Juliana et Pak Nyoman Juala
Costumes: Mireille Doering-Born / Putu Leeyonk
Compagnie Topèng (Théâtre Voyageur)
Le spectacle : Comment une culture que nous ne connaissons pas peut-elle nous interpeller intimement? Grâce au théâtre, des personnes de cultures différentes se rencontrent, qui n’auraient pas, sans ce lien, eu l’occasion de s’inviter pour le thé. Ce que chacun cherche dans le théâtre, peut être très varié. Un lien à une culture, un moment de communication avec des forces qui nous échappent, un lien avec une source vitale, un moyen d’équilibrer notre vision du monde ou de la questionner. ANAK BALI raconte, au travers du voyage initiatique d’ANA, comment le théâtre balinais est à la fois un artisanat, une tradition et un art mystique. Une passerelle se tisse entre quatre mondes: l’occident, l’orient, le visible et l’invisible.
Au spectacle, le masque n’est pas un accessoire, il définit le personnage. Mais comment le fabrique-t-on ? Comment se transmet ce savoir-faire ? Quelles incidences ont, sur le jeu, les formes et matières ?
Les Rencontres des Créateurs de Masques vous font pousser la porte d’ateliers de facteurs de masques, grâce à des interventions et présentations de masques en jeu.
En complément, une parade masquée aura lieu samedi 22 à 13h30 rue du Mouffetard.
Et une exposition sur les matières du masque restera dans l’espace du Mouffetard du 21 octobre au 4 novembre 2022. L’exposition est gratuite et accessible aux heures d’ouverture du théâtre: du mardi au samedi de 14h30 à 19h.
Horaires :
Vendredi 21 octobre 19h30 à 22h
Samedi 22 octobre 15h à 21h
Parade masquée à 13h30
- Tarifs :
Réservation par Hello Asso : pass deux jours : 12€
Sur place, tarif par journée : Vendredi soir : 7€ et Samedi toute la journée 10€, uniquement en espèces.
Gratuité pour les adhérents des créateurs de masques et abonnés du Mouffetard.
Lien adhésion à l’association 2022-2023
- Exposition:
du 21 octobre au 6 novembre
accès libre aux horaires d’ouverture du théâtre (du mardi au samedi de 14h30 à 19h)
- Pré-programme (sera complété au fur et à mesure des confirmations d’intervenants)
VENDREDI 21 OCTOBRE 22
19h30 – 22h
* Hommage à Jean-Marie Binoche
* Thématique TRANSMISSION de la fabrication de masques :
Avec Laurette Burgholzer, Jürg Eidenbenz, Patricia Gattepaille, Candice Moise, Emmanuelle Mouque-Raggi, Stefano Perocco
Modération: Giulia Filacanapa
SAMEDI 22 OCTOBRE 22
13h30 – 14h30
* Parade masquée dans le bas de la rue du Mouffetard.
Avec la participation de la clique Birewegge du carnaval de Bâle.
15h – 21h
* Présentation de masques au carnaval de Bâle, Clique des Birewegge
* Présentation de Loïc Nébreda, facteur de masques
* Table ronde, thématique FABRICATION du masque pour la scène, techniques, matières et collaboration :
Avec : Marine Donadoni, Alban Lebrun, Loïc Nébréda, Stefano Perocco, Claude Roche, Lydia Sevette
Modération: Candice Moise
* improvisations masquées, l’impact du masque sur le comédien.
* Présentation vidéo de jeunes chercheurs sur les masques scéniques
* Table ronde: thématique MÉTIER du facteur de masques:
Avec Chloé Cassagnes, Sylvie Pérault, Lydia Sevette
Modération : Alaric Chagnard
* Impromptus au plateau, tout au long de la journée :
Avec : ensemble Xenos, Lydia Sevette, les Birewegge du carnaval de Bâle.
Et bien d’autres surprises.
Merci à notre partenaire, le Mouffetard centre national de la marionnette, pour leur accueil.
73 rue Mouffetard
75005 Paris